Creations around
ELIANE RADIGUE and
LUC FERRARI
Au fil de l’inspiration et en résonance avec le lieu, la harpiste Hélène Breschand
entrelace compositions personnelles et pièces de répertoire qui lui tiennent à
coeur (ici Occam XVI d'Eliane Radigue et À la recherche du rythme perdu de
Luc Ferrari). Dans un corps à corps avec l’instrument, Hélène Breschand convie
l’auditeur à la découverte de son propre fil rouge, à travers les méandres d’un
labyrinthe intime. Il s’agit d’un voyage intérieur, d’une invitation à se retrouver
en soi.
Occam XVI d'Eliane Radigue création par Hélène Breschand au Collège des Bernardins _Paris
Vidéo de Gilles Paté
more on Gilles Paté : https://gilfakir.com/CielTerre.html
more on Eliane Radigue (french only) :
https://www.franceculture.fr/emissions/affaires-culturelles/eliane-radigue
Hélène participe à un ensemble de pieces d’Eliane Radigue, avec notamment Rhodri Davies (duo de harpes), Louis-Michel Marion (contrebasse), et Carol Robinson (clarinette)
Hélène participates in a set of pieces by Eliane Radigue, including Rhodri Davies (harp duo), Louis-Michel Marion (double bass), and Carol Robinson (clarinet)
“La musique d’Eliane a un pouvoir étonnant qui finalement m’échappe au moment de jouer . Plus que jamais dans cette musique je me sens comme un canal, une passeuse...”
“J’ai eu le plaisir de rencontrer Luc Ferrari et de travailler avec lui, au travers de
la collaboration active avec l’ensemble Laborintus.
J’ai ainsi, avec sa permission, pu adapter ses partitions pour piano, à la harpe,
comme :“Et tournent les sons dans la garrigue”, “À la recherche du rythme
perdu” et “bonjour, comment ça va”.
Nous avons enregistré “et tournent les sons” en 2005 avec Laborintus et eRikm
(Label Césaré).
un pan de mes propres compositions sont dans la lignée de Luc Ferrari.
J’aime mélanger prose et musique, pour créer une partition qui ressemble à un
poème.”
“Ce qui me marque dans la musique de Luc Ferrari, c’est le plaisir intense à la
jouer, et à la partager, la liberté profonde qu’elle contient, comme un ode à la
vie... Et son côté transe...”